Un bel exemple de folie sanitaire en matière de vaccination des voyageurs
Au sujet des vaccinations du voyageur il est recommandé de respecter un programme qui répond à la fois aux « obligations » administratives et des risques réels que le touriste encoure en fonction de la situation sanitaire du pays visité, ça c’est pour les textes officiels…
Exemple de vaccinations pour un touriste qui doit partir dans un mois
Dans ce document des hôpitaux de Strasbourg, regardez ce qu’osent co-signer les médecins en termes de vaccins et de rappels sur une durée de 30 jours. C’est simplement de l’imprudence consternante et sans aucun fondement scientifique. Où sont donc les preuves scientifiques qu’un protocole vaccinal aussi chargé soit sans danger ? Ou, du moins, qu’il s’avère moins dangereux que les maladies encourues par le voyageur ?
11 vaccinations en seulement 28 jours
- 4 injections vaccinales différentes le premier jour puis encore 2 autres une semaine plus tard puis encore 2 autres une semaine après et à la veille du départ encore 3 autres injections ! Que doit-on souhaiter à ce voyageur, bon voyage ou bonne chance ?
Ce qu’il faut savoir sur les injections rapprochées
- L’injection rapprochée de plusieurs antigènes favorise le développement de maladies auto-immunes (c’est sans compter sur les adjuvants comme l’aluminium qu’on retrouve dans plusieurs vaccins, qui favorise lui aussi les maladies auto-immunes)
- L’injection rapprochée de plusieurs vaccins est associée à un risque accru de cancers liés à divers polluants chimiques.
- Les tours operators et les agences de voyage reconnaissent les effets secondaires de vaccins comme motif valable pour faire jouer l’assurance annulation.
Les cliniques de vaccination voyage
On le voit, les cliniques des voyageurs peuvent être des lieux dangereux, parfois bien plus que les régions de voyage prévues. Cependant, c’est aux voyageurs de garder leur bon sens et surtout de bien connaître leurs droits, y compris le droit à une juste information ainsi que la jurisprudence. Car il est de bon ton de ne pas informer les gens qu’une vaccination anti-amarile (fièvre jaune) par exemple, n’est pas obligatoire mais simplement « chaudement recommandée ». La confusion est totale et habilement entretenue, en violation des droits des patients (pigeons) voyageurs !
Récemment en France, un médecin a été condamné à verser 3000 euros à un patient pour ne pas l’avoir informé de la totalité des risques associés au vaccin anti-hépatite B, y compris le risque de sclérose en plaques. Ce défaut d’information a été considéré par le tribunal comme une faute du praticien, constitutive d’un dommage moral dans le chef du patient, et nécessitant donc une indemnisation. Des patients bien informés sont donc en mesure de faire valoir leurs droits et aussi demander réparation des préjudices subis. De la sorte, cela créera une pression positive au niveau du corps médical qui deviendra ainsi de plus en plus hésitant à répéter à la manière d’un robot les injonctions vaccinales venues d’en « haut » et uniquement destinées à écouler un maximum de vaccins à un maximum de personnes…
Source : Initiative citoyenne /Doc des hôpitaux de Strasbourg
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