La pollution de l’air se défini par une altération de la pureté de celle-ci
D’origine très diverses, cette pollution de l’air que nous respirons tous les jours, est tout de même en majeur parties attribuée à l’être humain, qui depuis des décennies ne cesse de détériorer la planète pour assouvir ses envies de luxure.
Santé et espérance de vie
Au moment où l’espérance de vie atteint une moyenne de plus de 80 ans à la naissance dans la plupart des pays européen, ce facteur pollution risque bien de voir diminuer rapidement cette espérance de vie dans certains lieux et milieux. Essayons d’être concret et de regarder les risques de cette pollution de l’air sur la santé humaine. Occultons volontairement les activités humaines responsables, pour se concentrer uniquement sur les polluants et leurs effets sur l’organisme.
Santé et pollution de l’air
Cette pollution est particulièrement présente en ville ou aux abords de sites industriels ou d’autoroutes, et entraine de graves problèmes de santé. Les pollutions dangereuses sont les gaz comme le CO², l’ozone, dioxyde de carbone ou le dioxyde de souffre. Ces gaz proviennent des gaz d’échappement des véhicules et des gaz rejetés par les usines. De nombreux rapports alarmants sur la pollution au cœur des agglomérations et à proximité du trafic routier, particulièrement au niveau particules fines (PM10 et PM2,5), du dioxyde d’azote (NO2), de l’ozone (O3) et du Benzène.
C’est quoi des particules fines PM 10 et PM 2,5 ?
Les particules en suspension (notées « PM » en anglais pour « Particulate matter ») sont d’une manière générale les fines particules solides portées par l’eau ou solides et/ou liquides portées par l’air. Les valeurs 10 et 2,5 sont simplement la dimension de ces particules exprimées en micron ( Millième de millimètre), pour mieux imaginer la taille de ces particules voir l’image ci-dessous.
Effets de ces particules fines sur la santé
Ces particules fines pénètrent en profondeur dans les poumons. Poumons qui comme chacun le sait sont tapissées d’alvéoles, où vont avoir lieu les échanges gazeux avec le sang.
Toutes ces particules fines ne vont pas, pour la plupart d’entre elles passer dans le sang, non, car nos poumons sont très malins et ils on envisagés qu’il se pourrait bien que l’air qu’on leur donne à respirer puisse contenir quelques poussières ou autres saloperies. Ces particules fines vont donc être piégées par un système appelé mucus. Ce mucus va en quelque sorte retenir ces particules, seulement voilà, il se peut que ce fabuleux système sature si nous lui envoyons trop et trop souvent de l’air pollué !
Cette saturation du mucus va donner des inflammations, et aggraver l’état de santé des personnes les plus fragiles comme les enfants ou les gens atteints de maladies cardiaques et pulmonaires, mais elle va également fragiliser les gens en bonne santé mais hypersensibles, qui risquent de développer des crises d’asthme par exemple. De plus, ces particules peuvent être porteuses de composés cancérigènes. Vous l’aurez compris, si vous habitez dans un endroit à risque (Les grandes villes françaises dépassent fréquemment les seuils européens concernant les particules fines) votre espérance de vie de 80 ans est déjà bien compromise.
Fatalité ou choix de vie ?
Les responsables de la santé publique s’inquiètent car cette pollution de l’air touche un très grand nombre d’individus, pratiquement l’ensemble de la population, mais à plus grande échelle aux abords des grandes agglomérations. Les personnes atteintes sont captives puisqu’on ne peut s’empêcher de respirer tandis qu’on peut choisir de fumer ou non, par exemple. Cependant, si nous devons respirer obligatoirement, nous avons par contre le choix dans la qualité de l’air qu’on respire. La qualité de l’air sera bien différente si vous habitez une ville comme Lyon, Paris, Metz, Bordeaux…Ou une petite ville de 10 000 habitants comme la mienne, située à 1000 m d’altitude au beau milieu du Jura Suisse constitué de forêts et d’air pure…
Selon les statistiques, dans une ville de 500 000 habitants, 600 à 800 individus meurent chaque année de la pollution de l’air. Certaines personnes disent que ce ne sont que des chiffres basés sur des modèles théoriques… Ouais, mais dans tous les cas, ce sont des vrais gens qui meurt !
Détox de l’organisme
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Si vous le pouvez CHANGEZ D’AIR…
Sinon tentez de lutter au mieux en consommant plus d’antioxydants (artichaut, asperge, brocoli, chou rouge, poivron jaune et pommes de terre) et en adoptant un mode de vie sain. Pratiquez une activité physique régulière, gérez votre stress et améliorez votre qualité de sommeil… Profitez-en pour assainir votre alimentation, plus saine elle sera et mieux elle contribuera à renforcer votre système immunitaire.
A voir également :
- Symptôme de l’asthme chez l’adulte
- Traitement des allergies au pollen en 2013
- Le GLUTATHION – Le Maître des antioxydants
Bonjour, je suis une femme âgée de 73 ans, habitant à Chilly-Mazarin, (trafic routier très important, trafic aérien Orly suite au redimentionnement des pistes, les avions au décollage par vent d’ouest, nous perturbent directement (bruit et pollution), les outils des jardiniers des espaces verts très fréquents (souffleurs utilisés à longueur d’année, etc…) et la conséquence me donnent envie de dormir dans la journée, dès que je suis assise devant l’ordinateur ou si je suis devant un livre, etc…plus toux, eternuement, les yeux rouges et aussi une grande fatigue.D’après certains documents, la pollution à l’ozone et particules fines pourraient bien être responsables de tout cela!