Les médecines douces en danger ? C’est la petite question du jour !
Cela fait quelques temps que nous rassemblons des infos sérieuses et pertinentes sur le sujet, voici un petit résumé.
Depuis peu, certains gouvernements s’attaquent aux médecines douces, pourtant plébiscitées par 70 % des Français et également beaucoup moins dangereuses pour l’organisme et avec des effets secondaires insignifiants comparée aux solutions médicamenteuses. Et d’autre part, les médecins ont tendance à oublier que certaines techniques « alternatives » qui ont fait leurs preuves sont souvent plus efficaces que certains traitements actuels, cependant elles rapportent moins aux labos pharmaceutiques.
Le secteur d’information sur les médecines douces doit être régulé, certes, mais est-ce nécessaire de sortir les mitrailleuses ?
La politique agressive de l’État français est unique au monde, avec l’appui du conseil de l’ordre des médecins, ils entretiennent l’amalgame « volontaire » entre les solutions alternatives et le charlatanisme ou des mouvements d’illuminés. Des rapports fantaisistes sont régulièrement publiés pour agiter le spectre et justifier le financement des écoles paramédicales. Ainsi, il y est souvent question de « fléau social », de « risques graves » engendrés par les soi-disant sectes, mais jamais ni statistiques ni analyses scientifiquement établies ne sont présentées pour en démontrer la réalité.
La politique française, de droite ou de gauche a toujours diabolisée les médecines douces afin de protéger un monopole et des profits substantiels. Exploitant la peur du citoyen face aux risques de manipulation, le pouvoir s´efforce d´empêcher l’émergence de ces approches plus naturelles, moins coûteuses financièrement, logiquement plus respectueuses de l’individu dans sa sensibilité et dans sa globalité. Et offrant de multiples compléments de thérapie que la médecine traditionnelle n’est pas capable (ou n’a pas envie) d’offrir.
Conclusion, car il en faut bien une !
La volonté de mettre de l’ordre dans l’abondance des méthodes thérapeutiques non conventionnelles est nécessaire. Certaines peuvent en effet servir de couverture à des escrocs. Mais pas pour la majorité d’entre elles, comme veulent nous le faire croire les pouvoirs publics. Généralement, ces approches répondent au désarroi des gens confrontés aux limites et dérives de la médecine « officielle ». Elles sont conduites par des personnes sensibles et honnêtes comme dans n’importe quel autre secteur d’activité.
La diabolisation dont elles sont l’objet dessert la cause de la médecine conventionnelle et renforce le sentiment de défiance des Français envers elle.
Si vous en doutez encore suivez quelque uns de ces liens :
- Pourquoi être opposé à la médecine douce ou naturelle ?
- Didier Moulinier, Interdit d’exercer pour un an !
- Mafia médicale et médecine de consommation
- Big pharma, le lobby Français se porte bien
- Liberté thérapeutique en danger – OPA sur le Cancer
- Cancer et liberté thérapeutique – La dictature de Big Pharma
Le danger des médecins, des pharmaciens et des manufacturiers de médicaments ne peuvent d’aucune façon être comparé au danger des médecines douces qui n’ont JAMAIS été mise en cause dans un meurtre, un suicide ou simplement une maladie de type « secondaire » comme il y en a des centaines de milliers avec la médecine conventionnelle.