La maladie est devenue un business, la santé des personnes est relayée au second plan
Et le problème ne touche pas uniquement le cancer comme le sujet de cet article, mais le sida, les maladies rares, les vaccins…Tout est devenu une question d’argent.
DMO : Comment faire des profits sur des gens en bonne santé ?
Alors que la mortalité par cancer ne cessait de diminuer depuis plus de trente ans, le cancer a été déclaré priorité de santé publique en 1998. Parmi les différents plans successifs, notons le DMO (Dépistage de Masse Organisé) qui permet de traiter de plus en plus de patients atteints d’une tumeur qui ne se serait potentiellement manifestée que 15 ou 20 ans plus tard. En résumé et pour bien comprendre, un certain nombre de personnes vont prendre des traitements anti-cancéreux (chimio et rayons) en prévention d’un cancer qui risquerait « peut-être » de se développer dans les années qui suivent. Cependant, de récentes études sérieuses et comparatives menées dans différents pays d’Europe montrent que les programmes de dépistage massif mis en place depuis les années 90 n’ont eu que très peu d’impact sur la réduction de la mortalité par cancer.
Ces personnes dépistées et traitées, seraient donc médicalement « guéries » quinze ans avant d’être « cliniquement » malades ?!?… C’est juste une aberration !
Dans les cas d’une tumeur latente ou à régression spontanée, elles seraient déclarées « guéries » d’une maladie qu’elles n’auraient jamais eue !
La « guérison » étant ainsi définie, on peut affirmer que 90 % des cancers dépistés très tôt guérissent. Cette formulation n’est dans l’absolu, ni vrai ni fausse, seulement pour une science qui se veut rigoureuse, cette formulation n’est pas acceptable.
Le dépistage du cancer du sein, voici sous quelle forme les autorités sanitaires diffusent le message dans tous les pays développés, une véritable fable pour gamins du primaire
« Le cancer est une petite boule de cellules malades qui grossit et grossit encore pour envahir un organe complet et ensuite se répandre dans tout le corps.
Le plus sûr est d’enlever cette petite boule avant qu’elle ne grossisse en donnant un petit coup de bistouri, et hop, plus de cancer !
Grâce au progrès technologique, on détecte aujourd’hui ces petites boules, appelées tumeurs cancéreuses, au stade microscopique !
Pourquoi refuser le progrès ? Si toutes les femmes se faisaient dépister régulièrement, tous les cancers du sein pourraient être retirés au stade précoce et plus personne ne développerait de gros cancer dangereux, et des milliers de vies seraient épargnées !
Alors vive le Progrès et la Médecine moderne, mais surtout à partir de 50 ans, toutes au dépistage ! »
Dépistage du cancer du sein, la plus vaste escroquerie dans le domaine du DMO
Le nouveau plan d’arnaque des labos pharmaceutiques organisé avec l’aide de la sécu, oblige les médecins à remplir un certain quota de dépistages du cancer afin de recevoir une prime annuelle. L’objectif est d’augmenter le nombre de traitement par chimio dont l’argent va tout droit dans les poches des Labos. Combien de nouvelles victimes des séquelles des chimio faudra-t-il dénombrer au bout de la chaîne ?
La grande étude Cochrane et l’essai Ukccr, montre que le DMO est un échec total dans le cas du cancer du sein. Sur 1000 personnes admises dans le DMO, 14 cas seront retenus mais seulement 4 auront une véritable maladie cancéreuse évolutive et 10 se verront opérées inutilement à cause d’un sur-diagnostic. L’évolution favorable de chaque cas de sur-diagnostic que le médecin croit être un vrai cancer soigné à temps donne l’illusion de l’efficacité des traitements car les patients ne savent pas qu’ils ont été victimes d’une erreur de diagnostic. Les 4 vrais cas de cancer auraient finis par être découverts et traités sans modification notable de la durée de survie car il est reconnu que la précocité du diagnostic ne modifie pas la mortalité. Le DMO augmente le dépistage de pseudo-cancers que l’examen histologique ne peut pas distinguer de cancers évolutifs.
Donc, pour un cancer du sein qui serait soi-disant évité, le DMO entraîne dix sur-diagnostics. Les risques iatrogènes dus à la chirurgie, à la chimiothérapie et à la radiothérapie de ces dix patientes sont-ils réellement pris en compte ? Pire encore car la précocité de l’intervention chirurgicale semble être la cause d’une surmortalité par cancer du sein dans les trois années qui suivent cette opération.
Le DMO profite au lobby médical, mais au-delà de la manne financière que cela procure, cette escroquerie incroyable empoisonne la vie de beaucoup de femmes qui sont sacrifiées pour une médecine matérialiste et soumise à des dogmes aussi faux que toxiques.
La vraie prévention du cancer du sein n’est pas le dépistage précoce mais l’éducation de santé qui seule permet d’agir avec bon sens et intelligence.
Ajout du 12 mars 2017
Voici le témoignage d’une arnaque au dépistage, nous le publions avec l’accord de la personne.
Bonjour,
Je tiens à vous faire part de mon expérience du « dépistage gratuit » organisé par la sécurité sociale pour les personnes âgées de 50 et plus.
Je fais chaque année une mammographie et échographie, ayant des antécédents de cancer du sein dans ma famille.
Pour une fois en 20 ans je me suis dit que je pourrais bénéficier du dépistage « gratuit ».
J’ai donc pris rendez-vous dans un centre parisien du 8e arrondissement.
Tout c’est passé très vite, mammographie puis échographie apparemment décidé par les médecins du centre.
Je retourne en salle d’attente ou l’on me demande de régler 76 euros. Je n’ai pas réfléchi et j’ai fait un chèque.
La jeune fille de l’accueil m’a alors remis une feuille de maladie à envoyer à mon centre de sécu (MGEN) ainsi qu’une lettre à envoyer à ma mutuelle (ALPTIS). Sur cette dernière feuille était indiqué que l’échographie avait été demandée par mon gynécologue, ce qui est faux. Je n’ai jamais produit d’ordonnance provenant de mon gynécologue…J’ai simplement indiqué le nom de mon médecin référant et celui de mon gynécologue à l’accueil lorsqu’on me les a demandés afin de constituer mon dossier.
Trois semaines plus tard, je vois sur le site internet de la MGEN que la partie sécu qui m’est remboursée est de 2,74 euros…
Du côté de ma mutuelle, toujours rien…Voilà donc comment on vous présente un examen de dépistage « gratuit » alors que tout est fait pour vous faire payer des tarifs qui ne sont de toute évidence pas remboursés par la sécurité sociale.
Je suis très en colère et aimerait pour dénoncer ce genre de pratique, mais auprès de qui ?
Il faut dénoncer toutes ces arnaques!Katia S.
Articles préventifs:
- Cancer du sein, propagande du cancer business par Néosanté
- Prévention du cancer
- Les aliments anti cancer
- Traitement naturel du cancer – Cure Breuss
- Cancer : chimio ou pas chimio ?
- Nutrition et cancer, comment avoir un cancer à tous les coups
- Les causes du cancer du sein par le Professeur Henri Joyeux
J’avais vu aussi que le dépistage du cancer du sein cause le cancer du sein…
Hélas il y a quelques années que j’ai arrèté les mammographie seulement et mon médecin chaque année continue de me faire une ordonnance en plus de celle que je reçois de la Sécurité Sociale chaque année de dépistage …
Merci pour cet article (car savoir que le médecin est rémunéré pour me faire-faire une mammographie me sidère un peu ) mais faut plus s’étonner de rien à notre époque
C’est de la business totale. Pourquoi font-ils cela?
C’est uniquement pour dépister des tumeurs très petites (qui la plupart du temps ne grossirons jamais et ne ferons jamais de cancer) afin de pouvoir donner des traitements chimiques aux gens qui ne sont pas malade. De cette façon l’industrie va vendre plus de traitement de chimio, et lorsque l’on voit combien coute une chimio, c’est le jackpot pour les labos.