Eliminez la peur des maladies grâce à la nature
Si nous devions résumer ce billet dès maintenant il suffirait de mentionner quelques citations bien connues comme « Le médecin soigne, mais c’est la nature qui guérit » ou encore « Que ton alimentation soit ton seul médicament »…
Cependant tout n’est pas aussi simple, car comme l’affirmait le père de l’Homéopathie, Samuel Hanneman : « La maladie commence quand nous justifions par l’extérieur, le malaise intérieur. » Alors regardons cela d’un peu plus près.
Que savons-nous aujourd’hui au sujet de la maladie ?
La médecine contemporaine soigne le corps quand un symptôme apparait, néanmoins elle s’arrête à la frontière du monde physique pensant que c’est là un tout. Les signes tels que, rougeur, fièvre, tumeur…Associés à la maladie représentent pour cette médecine, un état anormal qu’il faut aussitôt supprimer.
Lorsqu’une maladie apparait, elle perturbe et dérange, cela devient le centre d’intérêt qui accapare toute l’attention. Cette maladie est devenue un obstacle à toutes choses, et il faut la combattre et l’éliminer. On parle alors de hasard, d’injustice, voire de fatalité.
On consulte donc son médecin et on attend de lui qu’il nous sorte de cette mauvaise passe. On s’en remet à lui en totale confiance et on suit docilement son traitement et ses prescriptions, c’est le syndrome de l’auto-stoppeur. Si cela ne suffit pas, notre brave médecin chargera son collègue le chirurgien de supprimer l’organe ou partie de l’organe malade pour assurer notre survie. Si la cause de cette maladie est une bactérie, un virus, ou un agent allergène, on évitera tout contact avec les agents en question avant de les combattre pour les supprimer.
La médecine traditionnelle restant fidèle aux théories de Descartes, Pasteur ou Darwin, n’établit aucun lien entre le monde (visible) physique, et le monde (invisible) de l’esprit, des croyances et des émotions. Elle ne tient absolument pas compte de l’importance et du rôle des émotions et des croyances sur le corps physique. Pour elle, la maladie n’est que le fait d’un accident de la vie, du hasard. Sa cause est donc extérieure à l’individu, en aucun cas le patient ne peut y être pour quelque chose, car la maladie vient de l’extérieur.
La maladie n’a donc aucun sens ?
Mais alors qu’est-ce qui poussait Hippocrate à dire en son temps que « Le hasard quand on vient à l’examiner se trouve n’être rien. Tout ce qui se fait à une cause certaine et cette cause se trouve encore en avoir une autre qui l’a produite. On ne voit point que le hasard puisse exister dans la nature. C’est seulement un nom. »
Ainsi que Platon qui écrivait «On ne doit pas soigner le corps séparé de l’âme, et pour que l’esprit et le corps retrouvent la santé, il faut commencer par soigner l’âme. Car, c’est une erreur fondamentale des médecins d’aujourd’hui que de séparer l’âme et le corps »
Malgré les dires de ces deux illustres génies, la médecine officielle a continué et continue encore de soigner le corps physique comme s’il était séparé du corps émotionnel et du corps spirituel.
Et pourtant, beaucoup de médecins, biologistes ou physiciens ont démontré depuis plusieurs décennies que les symptômes physiques d’une maladie n’avaient rien à voir avec le hasard mais que ces signes découlaient de chocs émotionnels ou de croyances négatives.
Tant que le Corps et l’Esprit sont en harmonie, rien ne peut nous affecter
Le célèbre Docteur Bach s’était rendu compte que ce que nous appelons « maladie », est en fait l’expression suprême produite par le corps, et qu’une personne sans conflit intérieur serait immunisée contre cette même « maladie ». Pour le Dr. Bach, la peur, la lassitude et la résignation diminuent les défenses naturelles du corps. Il estimait que pour guérir les maladies, il fallait d’abord en connaitre la cause psychique, résultante d’une émotion perturbatrice ou d’un état d’âme négatif. Et ensuite grâce à des remèdes naturels, le malade serait soigné dans sa globalité.
Et ce qui est exceptionnel et qui devrait nous interpeller, c’est que pour lui, les véritables maladies de l’homme proviennent de tares comme l’orgueil, la cruauté, la cupidité, la haine, la jalousie, le narcissisme, la convoitise, l’ignorance, l’instabilité et le déséquilibre.
Chacun de ces défauts produit un conflit qui ne peut que se refléter au final au niveau du corps physique, produisant ainsi des malaises et des maladies.
Qu’est-ce que le « mal-a-dit » ?
Notre corps physique est le résultat de ce que nous vivons à l’intérieur de nous-mêmes : Il est une image, un reflet, le miroir d’une partie de nous-mêmes. Notre corps ne ment pas. La maladie survient pour nous faire prendre conscience que quelque chose ne va pas. Au lieu d’aborder la maladie comme quelque chose qu’il faut combattre, si nous essayons de comprendre ce qu’elle a à nous dire, sans en avoir peur ?
Qu’est-ce que la maladie est venue nous dire ?
Puisque nos peurs sont à l’origine de nos maladies, alors commençons par les accepter, et les remercier. Acceptation et gratitude seront donc les premières valeurs à développer en nous. Puis comprendre la nature de ces peurs, les identifier, les apprivoiser et enfin les éloigner de nous. Grâce à elles nous allons commencer par comprendre puis corriger ce qui ne va pas en nous, donc nous améliorer et, du coup, nous approprier peu à peu la santé.
Dès qu’une maladie apparait, elle va donc nous permettre de libérer nos peurs en nous. Le mot « cancer » est tellement associé à la mort qu’il ébranle davantage la personne concernée au lieu de l’aider à guérir, dans ce cas la peur de la maladie sera pire que la maladie elle-même.
Vous n’avez pas d’autre ennemi à craindre que vos peurs
La peur représente le pire ennemi de l’être humain. Elle nait de l’inconnu, de l’ignorance et invite alors l’individu à se forger toutes sortes de représentations négatives et fausses de son symptôme. Si l’émotion positive et l’amour sont en nous, de façon naturelle et depuis toujours, en revanche la peur, est de notre propre création, une émanation de notre mental.
Par la maladie notre inconscient veut nous dire : « change maintenant ce qu’il y a à changer dans ta vie, corrige ce qu’il y a à corriger, rectifie ce qu’il y a à rectifier. »
Il faut alors comprendre que le chemin pris jusqu’alors n’était pas approprié, inadéquat. Quelque chose est donc à corriger, à modifier, à changer. Est-ce dans notre comportement, dans notre fonctionnement, notre manière de voir les choses, les autres, soi-même ? A nous de comprendre ces messages, le sens de la maladie, les interpréter au mieux et d’apporter les modifications demandées.
Cela passera toujours par un travail sur nos peurs qu’il faut d’abord apprivoiser pour les éloigner de nous. Puis un apprentissage de nos valeurs, c’est-à-dire nous approprier les valeurs violées dans notre enfance ou au cours de notre vie, lors d’évènements vécus de façon douloureuse, voire dramatique. Puis ensuite faire rejaillir de nous, peu à peu, toutes les valeurs enfouies depuis toujours et s’en imprégner totalement.
Conclusion
En définitive, le changement qui est demandé sera de développer toujours plus l’amour en nous, car, nous le savons maintenant, seul l’Amour guérit. La science a définitivement démontré que l’amour agit directement sur nos cellules comme le plus merveilleux des baumes guérisseurs. Sachons maintenant mettre cela à profit dans notre vie au quotidien et comprendre ainsi que nous sommes nous-mêmes nos meilleurs guérisseurs.
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Bouquins sur le sujet
Bonjour, J’ai été soignée pour un cancer du rectum avec radiothérapie et une semaine de chimio. Dernièrement, j’ai été opérée d’une métastase sur le foie. Depuis la fin de mon traitement le 10 février 2016 je souffre d’une hémorroïde persistante avec un transit très capricieux. Souvent j’ai à peine le temps de courir aux toilettes. Chaque fois que je vais aux toilettes je me nettoie avec du liniment et j’alterne différentes crèmes. Titanoréïne, ialuset, pommade au calendula ou ratanhia, xylocaïne. J’ai même essayé un gel aux huiles essentielles pour la circulation du sang (cinier B actif). Pouvez-vous m’aider à trouver une solution efficace pour supprimer la douleur intense lors des selles et qui persiste souvent longtemps après. Malgré le « jonglage » avec l’immodium, le tiorfan avec le smecta et le spagulax j’ai beaucoup de mal à réguler le transit et évitant soit une constipation soit une diarrhée. Je vous remercie de me donner des conseils naturels pour ces effets secondaires qui m’empêchent de vivre de façon épanouie. Au plaisir de vous lire, bien cordialement Christine
Bonjour, pour un transit capricieux essayez une cure d’une semaine de probiotique, pour les hémorroïdes vous avez des infos sur notre article: http://www.bon-coin-sante.com/blog-sante-sans-prise-de-tete/hemorroide-traitement-naturel/hemorroide-traitement-naturel/
je découvre l’alternative à la médecine traditionnelle surtout dans le traitement du cancer
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