Alimentation et groupe sanguin
Y aurait-il un rapport direct entre le type d’aliments (viandes/céréales/fruits/légumes) offerts par l’environnement d’une peuplade et son groupe sanguin ?
Ce rapport semble sujet à caution sous nos latitudes tempérées tant la nature nous offre quasiment tous les types d’aliments consommés par l’homme (viandes, poissons, fruits, laitages, légumes, céréales, etc…..)
Ainsi on pourrait se contenter de l’affirmation selon laquelle l’être humain est omnivore sans distinction de race, de religion, culture etc… Et se satisfait donc de tout type de nourriture sans que cela n’ait un quelconque impact sur sa santé et sa longévité.
Ces dernières années, un spot publicitaire bien connu nous somme de manger au moins 5 fruits et légumes pour rester en bonne santé sans tenir compte des spécificités de certaines ethnies.
Aussi je me demandais comment certains groupes ethniques comme les esquimaux (esquimaux signifie : « mangeurs de viande crue » dans la langue des Indiens Algonkins) pouvaient survivre dans un environnement où 9 mois/12 il gèle et où, la luminosité et les conditions climatiques interdisent tout type de culture céréalière ou fruitière.
Leur régime alimentaire est exclusivement composé de viande et de poissons, pendant la majeure partie de l’année or ce régime carné ne semble pas leur être préjudiciable puisque sauf exception ils ne souffrent pas des maladies souvent imputées à une alimentation riche en graisses, graisses que l’on retrouve en quantité appréciable chez les animaux de la banquise et qui justement constitue une protection contre le froid quasi permanent.
Or contrairement en Europe occidentale où l’on retrouve en quantité quasi égale les groupes sanguins A et O (43% environ) avec un % très limité de groupe sanguin B et AB, la population inuit comprend 86 % de groupe O (source Wikipédia)
Cette répartition peut présenter de sensibles différences selon les origines ethniques:
• Chez les aborigènes d’Australie par exemple, on compte 68% de O et 32% de A;
• Chez les Inuits, 86% de O;
• Chez les Asiatiques, on compte une plus forte proportion de groupe B
Exemples de répartition par type de population
De même les tribus amérindiennes d’Amérique du nord sont du groupe O à quasiment 100 % et sont avant tout des chasseurs-cueilleurs. (Le massacre des bisons par les colons européens accéléra le déclin des tribus indiennes.)
Cela corrobore, les allégations du docteur Peter d’ADAMO (auteur du livre 4 groupes sanguins/4 régimes) pour lequel il ne faut pas uniquement se concentrer sur l’aliment mais d’abord sur l’individu et son groupe sanguin pour savoir ce qui lui convient.
En l’occurence, votre groupe sanguin détermine le type d’aliment qui vous convient et vous assure ainsi une santé optimale, groupe sanguin qu’on peut aussi lier au type d’activité de nos ancêtres pour leur subsistance.
- Groupe O : le chasseur-cueilleur (mangeur de viandes/poissons et certains
fruits/légumes) - Groupe A : le cultivateur (alimentation à base de céréales, certains fruits/légumes)
- Groupe B : le nomade (mangeur de viandes, laitages, la plupart des légumes et fruits), le groupe le plus équilibré, à noter que le poulet est néfaste pour le groupe B.
- Groupe AB : le moderne (aliments emprunts des groupes A et B)
Chaque groupe sanguin (à part le O) est porteur d’un anti-gène (marqueur qui provoque la production d’anti-corps si introduits dans un autre groupe sanguin dépourvu de cet antigène) or beaucoup d’aliments possèdent une lectine ( sorte de protéine) dont la structure moléculaire ressemble fortement aux antigènes des groupes sanguins d’où le processus d’agglutination (ou rejet) observé si transfusion sanguine non compatible ( A vers B par exemple) ou absorption d’aliments non compatibles au groupe sanguin de la personne qui l’ingère.
De nombreux essais cliniques ainsi qu’en laboratoire (au microscope) confirment le processus d’agglutination de certains aliments sur un groupe sanguin et pas un autre d’où les fortes disparités constatées pour un même aliment en terme d’assimilation chez des individus de groupe différent.
A terme, l’ingestion répétée d’un aliment non compatible peut engendrer indigestion, maladies et même la mort chez les personnes déjà affaiblies, malheureusement les hôpitaux ne tiennent pas compte du groupe sanguin des patients, d’où une convalescence parfois problématique…
Conclusion
La médecine officielle réfute cette corrélation et ce malgré les preuves scientifiques et les bienfaits constatés chez les gens qui l’ont adopté.
Le naturopathe Peter d’Adamo, a développé la thèse de son père le Dr James d’Adamo également naturopathe selon laquelle nos besoins nutritionnels dépendent de notre groupe sanguin (A, O, B, AB) …Alors pourquoi ne pas tester ?