Les causes et les traitements de la maladie d’Alzheimer

L’Alzheimer est une maladie neurodégénérative du tissu cérébral qui entraîne la perte progressive et irréversible des fonctions mentales.

C’est la principale cause de démence chez les personnes âgées, touchant environ 24 millions de malades à travers le monde.

En France la maladie touche près d’un million de personnes, et chaque année ce sont entre 100 000 et 200 000 nouvelles victimes supplémentaires. Alzheimer, Sclérose en plaques,  Parkinson, toutes les affections neurologiques explosent, l’autisme a même été multiplié par 15 en 40 ans…

Les premiers symptômes de la maladie

Les troubles de la mémoire sont le plus souvent les premiers signes, sauf que c’est faux ! Les premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer ce sont la perte du gout et de l’odorat, ou du moins une diminution de ces deux facultés gustative et olfactive. Alors si c’est le cas, n’attendez pas d’oublier vos rendez-vous, le code de votre carte bancaire ou plus grave encore, vos médicaments, ou de vous tromper de boite…Pour vous occuper de vous et commencer par écouter et suivre les conseils ci-dessous.

Les causes de la maladie

Les causes restent « officiellement » inconnues pour l’instant, mais les chercheurs en ont précisé les facteurs de risque.

Dans l’immense majorité des cas, la maladie apparaît en raison d’une combinaison de facteurs de risque. Le vieillissement est le principal facteur. Les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires (l’hypertension, l’hypercholestérolémie, l’obésité, le diabète, etc…) semblent également contribuer à son développement.

Il est aussi possible (et fort probable) que des infections ou l’exposition à des produits toxiques jouent un rôle dans beaucoup de cas, ça fait des années que de multiples recherches en toxicologie et en épidémiologie mettent en cause un cocktail de produits industriels qui font des ravages parmi nos neurones: Métaux lourds, pesticides, nouvelles molécules, médicaments, mercure, aluminium, particules ultrafines dans l’air… Nous sommes tous imprégnés de ces saloperies…Rien qu’en France chaque année c’est 15.000 à 30.000 nouveaux cas d’Alzheimer qui seraient uniquement attribuables aux traitements par somnifères et benzodiazépines.

Le niveau de preuve est énorme, mais les scientifiques qui mènent ces travaux sont mis sur la touche. Particulièrement les toxicologues, qui sont considérés comme les emmerdeurs n°1 et qui n’ont aucun moyen pour travailler et voir aboutir leurs recherches.

Quels traitements ?

Plusieurs, voir beaucoup, de médicaments existent pour traiter les symptômes de la maladie. Cependant, ces médicaments ne permettent ni de la guérir, ni d’en bloquer la progression.

• Mais pour l’industrie du médicament, cette hécatombe (24 millions de malades à travers le monde) est une aubaine commerciale  c’est 39 % par an de retour sur investissement. Mais ce n’est pas tout, car à côté du marché des médicaments, il y a aussi le business des maisons de retraite médicalisées et surtout, celui des assureurs…

Médicaments dangereux à éviter pour la maladie d’Alzheimer

Les nouveaux médicaments disponibles depuis début 2016 ont une efficacité minime et transitoire. Peu maniables en raison d’effets indésirables disproportionnés et exposent à de nombreuses interactions. Aucun de ces médicaments n’a d’efficacité démontrée pour ralentir l’évolution vers la dépendance et ils exposent à des effets indésirables graves, parfois mortels. Or ils sont utilisés en traitement prolongé et impliqués dans des interactions dangereuses:

Le donépézil (Aricept), La galantamine (Reminyl), La rivastigmine (Exelon)
Ces 3 médicaments anticholinestérasiques exposent à des effets secondaires tels que : Troubles digestifs et/ou vomissements parfois graves, troubles neuropsychiques, troubles cardiaques (bradycardies, malaises, syncopes…), et des troubles de la conduction cardiaque.

La mémantine (Ebixa)
Ce médicament est un antagoniste des récepteurs NMDA du neurotransmetteurglutamate, expose à des troubles neuropsychiques tels que ; hallucinations, confusions, sensations vertigineuses, céphalées, comportements violents, convulsions, atteintes cutanées graves.

C’est très préoccupant, car en laissant monter cette pandémie sans précédent, les gouvernements mettent vraiment en péril notre système de solidarité et de protection sociale. Et les assureurs n’attendent que ça.

Nos conseils de prévention contre ces maladies neurodégénératives

Nous nous apercevons que ces maladies sont beaucoup plus présentes dans nos pays occidentaux dis « industrialisés » ces produits industriels nous détruisent les neurones de façon irréversible, n’attendez pas d’avoir 50 ans pour réaliser que vous aimeriez bien vieillir en bonne santé et prenez les devants des maintenant.

• Premièrement changez votre alimentation, passez à une alimentation dites Bio, je préfère le terme « alimentation naturelle » qui reflète mieux le fait de consommer des produits frais de saison achetés à votre commerçant, cultivateur, agriculteur… Du coin et que vous allez cuisiner vous-même, et faites votre jardin si vous le pouvez.

• Améliorez votre hygiène de vie, mettez vous à faire une activité physique régulière, diminuez votre consommation d’alcool, de graisses, de tabac et arrêtez de prendre des médicaments pour un oui ou pour un non !

• Et enfin, pour lutter contre les pollutions ou toxines que nous ingurgitons malgré nous, pensez à faire une cure de détox  au minimum 2 fois par an (printemps/automne)

Conclusion

Les responsables sanitaires devraient sérieusement s’inquiéter. D’un côté, notre pays fait une consommation délirante de benzodiazépines ou autre somnifères, de l’autre, nous savons que prendre ces traitements favorise l’entrée dans l’une des pires maladies qui soit.

C’est une vraie bombe, mais nos décideurs n’ont pas l’air de le réaliser…

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